Ouateco en partenariat avec le CSTB et Nobatek lance une campagne de mesures « In Situ » de critères de performances de son isolant en coton et textiles recyclés « Filéco ».
L’objectif est d’analyser ces mesures, les comparer avec les essais laboratoires, et, a terme, les intégrer dans les valeurs reconnues et garanties du produit. Les essais laboratoires donnent une indication de performances mais ne reflètent pas la réalité du fonctionnement de l’isolant. L’intérêt de cette démarche exemplaire qui va durer 3 ans, va permettre de mesurer, avec une méthodologie validée par le CSTB et Nobatek, les indicateurs de :
- Tassement dans le temps de l’isolant
- Présence ou non de corrosion pour les parties métalliques en contact avec l’isolant
- Présence ou non de développement de moisissure
En parallèle, Ouateco lancera une campagne de mesures des consommations énergétiques « in Situ », afin de disposer d’éléments factuels de confort été et hiver.
Le premier protocole de cette méthode sera mis en place le mercredi 30 Mars sur un bâtiment construit par le promoteur Nexity à Capbreton, dans les Landes.
Une méthode identique avait été développé par ouateco en 2013 et a permis de mesurer de nombreux chantiers en ouate de cellulose, sur 4 ans, avec une conclusion évidente : les valeurs des essais laboratoires sont totalement défavorables aux isolants biosourcés.
Le tassement moyen de notre isolant en ouate de cellulose, avec stabilisation, est de 14% alors que les valeurs d’essais en laboratoires sont de 30%, ce qui implique que le consommateur devrait payer 16% de plus d’isolant que la résistance thermique réelle visée, et 16% de plus de budget isolation… Le surcout actuel de l’ensemble des matériaux lié au contexte « covid » et « Guerre en Ukraine » doit attirer notre attention sur la réalité des performances des isolants afin d’optimiser le budget et les économies générées, de façon réelle et non théorique.
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